Question 1 « J’ai une famille formidable, je suis gêné(e) d’enquêter sur eux alors que je n’ai rien à leur reprocher » ? : justement, c’est là tout le merveilleux de la psychogénéalogie, on se croyait riche et on se rend compte qu’on l’est encore plus ! On parle d’enquête généalogique mais il n’y a jamais de procès, chaque attitude trouve sa raison dans l’histoire de notre vie, et tout ce qui s’est produit n’avait pas l’intention de nuire, c’était ok sur le moment, même si ce n’est plus le cas aujourd’hui.

 

Question 2 « Je suis un(e) enfant adopté(e), est ce que ça marche pour moi ? » Bien sûr, la structure familiale dans laquelle vous avez grandi vous a impacté(e) au même titre que les enfants biologiques.

 

Question 3 « Je ne veux rien demander à ma famille, ma démarche reste personnelle et privée » : aucun souci, sur le nombre d’hypothèses qui seront suggérées, une apparaitra comme une évidence, et le puzzle sera reformé. Cela prendra peut-être un pu plus de temps, et encore…

 

Question 4 « Est-ce que vous allez m’endormir ? » Pas du tout, bien au contraire, le travail est en conscience, réflexif et conversationnel, vous aurez peut-être besoin de dormir pour « laisser poser » mais après, une fois rentré chez vous.